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Résumé à venir
Résumé à venir
L’orthodontiste est amené à utiliser de nombreux dispositifs qui, placés dans la bouche de nos patients, sont soumis à des sollicitations thermiques, mécaniques, chimiques et microbiologiques.
Cela entraîne inévitablement une dégradation de nos dispositifs orthodontiques, ce qui pose la question d’une possible libération de substances chimiques.
Parmi ces substances, le bisphénol A (BPA), qui entre d’une manière ou d’une autre dans la synthèse de certains dispositifs orthodontiques à base de résines (composites de collage et systèmes adhésifs associés, brackets ou encore gouttières de contention et aligneurs), est reconnu comme perturbateur endocrinien.
C’est pourquoi il est au centre de l’attention ces dernières années concernant ses effets biologiques et sa toxicité sur l’organisme, en particulier sur la population à risque (enfants, adolescents, femmes enceintes).
Les traitements orthodontiques concernant en majorité des enfants et adolescents et de jeunes adultes, il est important de connaître et de prendre en compte les potentiels effets nocifs des dispositifs orthodontiques que nous utilisons, particulièrement sur la présence de bisphénol A.
L’objectif de cette présentation sera de faire un point sur les données de la littérature récente sur la libération de substances toxiques par nos matériaux orthodontiques à base de résine et de formuler des recommandations cliniques pour en limiter la toxicité.
La médicalisation de notre profession est un enjeu majeur mais ce n’est pas un courant de pensée ni une mode !!
Comprendre l’orthodontie c’est comprendre les malocclusions, leur mise en place, les réussites et les échecs de nos traitements orthodontiques +/- pluridisciplinaires.
La lecture occlusale seule semble alors limitée si nous appréhendons les fonctions de mastication, de déglutition, de ventilation et la posture de nos patients.
L’orthodontie neuromusculaire (ONM ™) prend alors tout son sens.
La finesse du diagnostic par l’étude de la dynamique dentaire, musculaire et articulaire permet de comprendre la maturation de l’occlusion et les maux évoqués lors des consultations au cabinet.
L’équilibre et la proprioception physiologique dans les fonctions oro-faciales sont les objectifs de nos traitements.
Grâce à la lecture de la dynamique occlusale et des études électromyographiques, l’équilibre des composants du système articulo-musculo-dentaire est compris et recherché.
Ces outils diagnostics permettent aux orthodontistes et dentistes de devenir des occlusodontistes de la dynamique neuromusculaire.
Résumé à venir
Résumé à venir
À l’heure où les effets sanitaires et environnementaux de certains matériaux utilisés en orthodontie sont mieux identifiés, l’éthique du soin impose une réflexion sur nos pratiques.
Cette conférence explore les liens entre choix cliniques, responsabilité professionnelle et impact écologique. Elle propose des pistes pour une orthodontie plus éclairée et durable.
À travers une réflexion accessible et contemporaine, ce livre invite à se confronter à l’absurde pour y trouver une liberté créative et authentique.
Car si la vie n’a peut-être pas de sens prédéfini, c’est une formidable opportunité de le créer par soi-même.
L’orthodontie joue un rôle clé dans la santé parodontale, avec des effets souvent bénéfiques mais parfois délétères. Elle permet, par exemple, d’améliorer l’hygiène buccale en corrigeant des malpositions, ou bien de rétablir la fonction suite à des migrations secondaires, conséquences fréquentes des maladies parodontales.
Cependant, des mouvements non contrôlés ou une contention inadaptée peuvent entraîner des récessions gingivales et des complications parodontales.
Une approche pluridisciplinaire est essentielle pour maximiser les bénéfices tout en minimisant les risques pour les tissus de soutien des dents.
D’où viennent nos impacts, et quels sont nos leviers d’action à court, moyen et long terme ? Cette présentation, pensée comme une discussion entre le Dr Pastwa et le Dr Oosthoek, tentera d’alimenter la réflexion sur la décarbonation de notre activité, et plus largement sur ce qu’implique la transition vers un cabinet plus durable.
L’orthodontie joue un rôle clé dans la santé parodontale, avec des effets souvent bénéfiques mais parfois délétères. Elle permet, par exemple, d’améliorer l’hygiène buccale en corrigeant des malpositions, ou bien de rétablir la fonction suite à des migrations secondaires, conséquences fréquentes des maladies parodontales.
L’objectif d’un protocole de dépose est de garantir le retrait complet de la résine composite sans altérer la surface de l’émail. Une revue systématique a été conduite afin d’analyser l’impact de la dépose orthodontique sur la surface amélaire.
Introduction :
L’orthodontie est à un carrefour fascinant : jamais autant d’outils technologiques n’ont
été disponibles pour explorer, diagnostiquer, planifier et simuler des traitements.
Pourtant, certains dispositifs cliniques précis et efficaces, comme les multi-bagues
linguales, disparaissent progressivement du paysage thérapeutique.
L’explosion technologique : promesses et limites
Une orthodontie technologique… jusqu’à la frénésie de l’ivresse !
Imagerie 3D avancée : tout voir. Tout modéliser.
CBCT, scanners intra-oraux, reconstructions faciales 3D ont révolutionné la
visualisation du patient.
Les modèles numériques permettent de planifier des mouvements dentaires avec une
précision théorique micrométrique.
Intelligence artificielle : tout prédire. Tout tracer.
• Diagnostic assisté, segmentation automatique, prédictions de traitement.
• IA générative pour le « setup virtuel » et la simulation de résultats esthétiques.
Aligners, scanners, simulations instantanées. Mais...
Nous encourons :
• un risque de sur-dépendance aux modèles prédictifs standardisés.
Comprenons-nous encore ce que notre œil clinique détecte au-delà du modèle
numérique ?
• une perte progressive de la capacité clinique intuitive (diagnostic perceptif,
raisonnement adaptatif sur cas atypiques). Voyons-nous encore ce que nos mains sentent ?
Le paradoxe du recul de l’expertise clinique directe qui s’efface.
Disparition d’outils :
• des multi-bagues linguales se retirent du marché par manque de profits.
• Les plans mécaniques ou la mécanothérapie ultra personnalisés disparaissent ?
Aujourd’hui, nous nous tournons vers la simplification :
➔ Plus rapide. Plus simple. Plus rentable.
➔ Mais malheureusement moins précis pour des cas complexes.
Les risques ?
Avoir un orthodontiste qui « suit » des prédictions… plutôt qu’un créateur de traitements
adaptés.
Une technique demandant haute maîtrise mécanique, sens clinique aigu et adaptation fine en bouche est remplacée par des aligneurs ou appareils standardisés nécessitant moins d’intervention clinique quotidienne.
Et en conséquences :
Nous aurons une réduction de la diversité mécanique disponible pour traiter les cas complexes. Et moins d’options personnalisées pour des patients spécifiques, comme certaines dysmorphoses adultes exigeantes (ATM et asymétrie).
Le vrai défi de demain : Convergence ou Résilience,
le vrai chemin sera une fusion, pas une soumission.
La main clinique doit guider la machine, pas l’inverse. L’intuition biomécanique reste
irremplaçable et n’est pas, pour le moment, modélisable. Utiliser la technologie comme
extension des compétences humaines, non comme substitut. La technologie doit être
un levier, pas un GPS ou pilote automatique.
La formation des orthodontistes, qui devront être capables de raisonner au-delà de l’outil numérique et conserver une maîtrise mécanique et biomécanique fine pour
garder une adaptabilité face aux cas non standardisables par simulation numérique et IA.
Conclusion :
L’orthodontie de demain ne sera pas celle qui aura le plus de robots ou de scanners,
mais celle qui saura intelligemment combiner intuition clinique, rigueur biomécanique
et puissance numérique.
Le défi n’est pas d’ajouter toujours plus de technologie, mais de rester orthodontiste
dans un monde de machines.
En synthèse :
« L’orthodontie de demain ne sera pas 100 % numérique, elle sera 100 % augmentée par
l’humain. »
« Plus vous voyez en 3D, plus vous devez penser avec plus de dimensions. »
« Maîtriser la technologie sans renoncer à l’art clinique. »
L’orthodontie joue un rôle clé dans la santé parodontale, avec des effets souvent bénéfiques mais parfois délétères. Elle permet, par exemple, d’améliorer l’hygiène buccale en corrigeant des malpositions, ou bien de rétablir la fonction suite à des migrations secondaires, conséquences fréquentes des maladies parodontales.
Introduction : Les perturbateurs endocriniens sont des xénobiotiques inventés grâce au développement de la chimie organique et minérale à partir du milieu du 18ème siècle. Ils sont ubiquitaires et sont en grande partie la cause de l’augmentation exponentielle, des pathologies dites chroniques… Ils ont par ailleurs des caractéristiques toxicologiques particulières surprenantes qui nous impliquent de bien les connaître et les reconnaître afin de mettre en place une réelle prévention…
Je profiterai de cette intervention pour vous montrer, au cas où, s’il s’en trouve dans l’exercice de votre profession...
L’exigence esthétique est croissante, particulièrement en fin de traitement orthodontique.
Nos patients acceptent difficilement des disharmonies de forme, de couleur ou de symétrie après avoir passé de nombreux mois, voire des années, chez l’orthodontiste.
La dentisterie préservatrice, basée sur l’adhésion, permet de résoudre efficacement ces doléances de fin de traitement en s’adaptant à l’âge du patient.
Cette dentisterie esthétique s’impose aujourd’hui comme une véritable aide à la finition des traitements orthodontiques grâce à des techniques comme les composites injectés, les facettes, les bridges cantilever, l’infiltration des taches par érosion, les éclaircissements, etc.
Cette conférence a pour objectif d’expliquer, par l’intermédiaire de nombreuses vidéos cliniques, l’apport de ces techniques préservatrices esthétiques dans la finition des traitements orthodontiques.
Notre profession et l’écoresponsabilité
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Praticien Hospitalier Universitaire en Orthopédie-Dento-Faciale
Toxicité des matériaux orthodontiques à base de résine :
données actuelles et recommandations cliniques
L’orthodontiste est amené à utiliser de nombreux dispositifs qui, placés dans la bouche de nos patients, sont soumis à des sollicitations thermiques, mécaniques, chimiques et microbiologiques.
Cela entraîne inévitablement une dégradation de nos dispositifs orthodontiques, ce qui pose la question d’une possible libération de substances chimiques.
Parmi ces substances, le bisphénol A (BPA), qui entre d’une manière ou d’une autre dans la synthèse de certains dispositifs orthodontiques à base de résines (composites de collage et systèmes adhésifs associés, brackets ou encore gouttières de contention et aligneurs), est reconnu comme perturbateur endocrinien. C’est pourquoi il est au centre de l’attention ces dernières années concernant ses effets biologiques et sa toxicité sur l’organisme, en particulier sur la population à risque (enfants, adolescents, femmes enceintes).
Les traitements orthodontiques concernant en majorité des enfants et adolescents et de jeunes adultes, il est important de connaître et de prendre en compte les potentiels effets nocifs des dispositifs orthodontiques que nous utilisons, particulièrement sur la présence de bisphénol A.
L’objectif de cette présentation sera de faire un point sur les données de la littérature récente sur la libération de substances toxiques par nos matériaux orthodontiques à base de résine et de formuler des recommandations cliniques pour en limiter la toxicité.
Le syndrôme chimique multiple (vidéo)
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L’orthodontie Médicale
La médicalisation de notre profession est un enjeu majeur mais ce n’est pas un courant de pensée ni une mode !!
Comprendre l’orthodontie c’est comprendre les malocclusions, leur mise en place, les réussites et les échecs de nos traitements orthodontiques +/- pluridisciplinaires.
La lecture occlusale seule semble alors limitée si nous appréhendons les fonctions de mastication, de déglutition, de ventilation et la posture de nos patients.
L’orthodontie neuromusculaire (ONM ™) prend alors tout son sens.
La finesse du diagnostic par l’étude de la dynamique dentaire, musculaire et articulaire permet de comprendre la maturation de l’occlusion et les maux évoqués lors des consultations au cabinet.
L’équilibre et la proprioception physiologique dans les fonctions oro-faciales sont les objectifs de nos traitements.
Grâce à la lecture de la dynamique occlusale et des études électromyographiques, l’équilibre des composants du système articulo-musculo-dentaire est compris et recherché.
Ces outils diagnostics permettent aux orthodontistes et dentistes de devenir des occlusodontistes de la dynamique neuromusculaire.
Éthique, santé et environnement : peut-on encore ignorer ce que l’on sait ?
À l’heure où les effets sanitaires et environnementaux de certains matériaux utilisés en orthodontie sont mieux identifiés, l’éthique du soin impose une réflexion sur nos pratiques.
Cette conférence explore les liens entre choix cliniques, responsabilité professionnelle et impact écologique. Elle propose des pistes pour une orthodontie plus éclairée et durable.
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Le sens de la vie
À travers une réflexion accessible et contemporaine, ce livre invite à se confronter à l’absurde pour y trouver une liberté créative et authentique. Car si la vie n’a peut-être pas de sens prédéfini, c’est une formidable opportunité de le créer par soi-même.
Orthodontie et Parodontie : Alliées ou Adversaires ?
L’orthodontie joue un rôle clé dans la santé parodontale, avec des effets souvent bénéfiques mais parfois délétères. Elle permet, par exemple, d’améliorer l’hygiène buccale en corrigeant des malpositions, ou bien de rétablir la fonction suite à des migrations secondaires, conséquences fréquentes des maladies parodontales. Cependant, des mouvements non contrôlés ou une contention inadaptée peuvent entraîner des récessions gingivales et des complications parodontales. Une approche pluridisciplinaire est essentielle pour maximiser les bénéfices tout en minimisant les risques pour les tissus de soutien des dents.
SQODF & consultant dans un bureau d’études spécialisé dans la transition bas-carbone
Vers un cabinet bas-carbone : problématiques et solutions
D’où viennent nos impacts, et quels sont nos leviers d’action à court, moyen et long terme ? Cette présentation, pensée comme une discussion entre le Dr Pastwa et le Dr Oosthoek, tentera d’alimenter la réflexion sur la décarbonation de notre activité, et plus largement sur ce qu’implique la transition vers un cabinet plus durable.
Docteur en Chirurgie Dentaire – Spécialiste en Orthopédie Dento-Faciale – Ancienne Interne des Hospices Civils de Lyon – DU de Droit Médical – Faculté de Droit Université de Lorraine
1. Vers une écoresponsabilité au cabinet, les problèmatiques /les solutions (conférence conjointe avec le Dr Justin Oostoek
À l’heure du défi climatique, le chirurgien-dentiste omnipraticien et spécialiste se doit d’intégrer dans sa pratique quotidienne des mesures visant à réduire l’impact environnemental de son cabinet. Mais peu de données existent sur les enjeux de la transition écologique en odontologie.
2. Dépose des attaches orthodontiques et intégrité de la surface amélaire
L’objectif d’un protocole de dépose est de garantir le retrait complet de la résine composite sans altérer la surface de l’émail. Une revue systématique a été conduite afin d’analyser l’impact de la dépose orthodontique sur la surface amélaire.
L’orthodontie de demain /thérapeutique fixée versus gouttières d’alignement
Comment associer ses patients à une démarche éco-responsable pour essayer de comprendre son impact écologique
L’exercice de notre métier d’orthodontiste a un impact écologique non négligeable.
Exercer en occultant cet aspect est difficilement acceptable aujourd’hui, et tout l’intérêt de cette conférence est d’essayer de proposer et d’expliquer un projet écologique reproductible, permettant de minimiser cet impact tout en y associant son équipe et ses propres patients.
Directeur pédagogique du « Diplôme Universitaire de Médecine Environnementale » le DUME, CHU Henri Mondor, Faculté de Médecine Paris/Créteil.
Les perturbateurs endocriniens : quels risques pour la santé
Chargé d’enseignement universitaire dans le département d’odontologie conservatrice – endodontie à la faculté de chirurgie dentaire de Strasbourg
-Coordinateur pédagogique du DU d’esthétique du sourire de Strasbourg
Comment traiter les leucoses ou white spot
L’exigence esthétique est croissante, particulièrement en fin de traitement orthodontique.
Nos patients acceptent difficilement des disharmonies de forme, de couleur ou de symétrie après avoir passé de nombreux mois, voire des années, chez l’orthodontiste.
La dentisterie préservatrice, basée sur l’adhésion, permet de résoudre efficacement ces doléances de fin de traitement en s’adaptant à l’âge du patient.
Cette dentisterie esthétique s’impose aujourd’hui comme une véritable aide à la finition des traitements orthodontiques grâce à des techniques comme les composites injectés, les facettes, les bridges cantilever, l’infiltration des taches par érosion, les éclaircissements, etc.
Cette conférence a pour objectif d’expliquer, par l’intermédiaire de nombreuses vidéos cliniques, l’apport de ces techniques préservatrices esthétiques dans la finition des traitements orthodontiques.